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PRÉSENTATION.
Charles-Henry Hamleigh

Identité :

Prénom(s) : Charles-Henry

Nom : Hamleigh

Sexe : Masculin

Âge : 27 ans

Métier : Noble

Groupe : Nobles

Camp : Geoffroy

Autres : Nada

Physique :

Charles-Henry, c'est un homme beau. Un homme beau et attirant, doté d'un physique des plus parfaits. Grand, les épaules larges, les hanches étroites, des muscles saillants, une taille mince et élancée, de longues jambes fortes sur lesquelles il est campé avec assurance... Sa peau est d'une couleur entre le hâle et la pâleur. Son visage traduit tout de lui. Charmeur et sarcastique, toujours parfaitement rasé, avec une cicatrice sur sa joue gauche près de son oreille témoignant de ses combats. Son front haut, son nez pointu et son menton levé lui donnent l'air froid et hautain, accentué par des yeux d'un bleu pâle virant au gris. Ceux-ci ne connaissent que deux, ou trois états au maximum. L'indifférence, la cruauté et le sarcasme. Sa bouche, de couleur bordeaux et recouvrant une dentition parfaite, est cependant tordue par un reste de rictus mauvais qui a l'habitude de s'y installer. Ses pommettes sont saillantes et sa mâchoire carrée. Ses cheveux bruns sont coupés en brosse de façon artistique et soignée.

Caractère :

Le nom de Charles-Henry Hamleigh est connu par grand nombre de gens, et ce non seulement sur son territoire mais aussi sur ceux des seigneurs voisins et même plus loin encore. C'est un homme grand et puissant qui n'hésite pas à abuser de son pouvoir et de ses sujets. Riche grâce à leurs impôts, il aide cependant les paysans de ses terres à faire le plus possible de récoltes. Mais ce n'est pas pour leur bien, loin de là. Il est seulement assez intelligent pour savoir qu'aider ses sujets va les apaiser et empêcher des révoltes d'éclater comme chez ses voisins, et en plus de ça lui permettre de s'enrichir lui-même. Dans les autres contrées, il est connu comme étant un homme violent et pervers, et il inspire la peur, la terreur, aux personnes qui le connaissent. Cependant, il peut aussi être considéré comme lâche, puisqu'il laisse souvent ses soldats se débrouiller tous seuls, et au fond, ceux qui le trouvent lâche et traître n'ont pas tort. Il est traumatisé par le fait que quelqu'un puisse le contredire, lui imposer son propre pouvoir et réussir à le vaincre. Il est constamment entouré de personnes de confiance afin que l'on ne puisse pas faire atteinte à sa santé et à son physique, afin qu'il ne risque pas de mourir d'un attentat. Lorsqu'il s'agit de combattre ou d'affronter un adversaire faible, que ce soit sur un champs de bataille ou juste sous forme de discussion, bien sûr, pour le faire lui même afin de remporter la gloire, de prouver, et surtout de se prouver, qu'il est fort. Mais en soi, malgré son charisme., Charles-Henry Hamleigh passe pour un homme cruel et couard.

Histoire :

Charles-Henry est né dernier d'une famille de cinq enfants et n'aurait pas eu la chance d'être héritier si ses parents n'avaient pas eu quatre filles. La plus jeune d'entre elles a trois ans d'écart avec son frère, et l’aînée huit. Pourtant, elles s'occupent de lui comme des poules de leur poussin, de même que sa mère et que les femmes de sa suite. Il bénéficie dans ses premières années de soins particuliers, étant né prématurément et en tant que seul fils de son père qui commence à se faire vieux. Deux nourrices s'alternent à son chevet jusqu'à ses trois ans. Vêtu chaudement, allongé dans un berceau confortable et bordé de couvertures en plumes de cygnes, il n'est pas un enfant très agité, pleure bien moins que la moyenne et ne provoque que de la joie et de l'enthousiasme à sa famille.

Sa mémoire, cependant, ne remonte qu'à la période ayant succédé à celle de son bas-âge, pendant laquelle il est passé sous la tutelle d'une gouvernante. Cependant, celle-ci ne peut pas se permettre de l'élever comme elle l'aurait fait pour des familles de simples bourgeois. En tant que fils d'un puissant seigneur, il a toujours raison et possède tous les droits. Dès sa plus tendre jeunesse, Charles-Henry est habitué à ce que l'on lui obéisse au mot près, et n'hésite pas à se mettre en colère et à faire des caprices pour parvenir à ses fins. Sur la demande de la duchesse Hamleigh, on l'initie à l'étiquette et lui enseigne les lois du bon comportement à avoir et des propos appropriés à tenir. Il passe beaucoup de temps dans les différents salons de ses appartements en compagnie de sa gouvernante, de ses précepteurs, de ses sœurs ou de sa mère et chacun semble s'extasier à chaque mot qu'il dit. Il se plaît bien vite aux aspirations vestimentaires et au goût de la mode qu'ont sa mère et ses sœurs. Il ne manque de rien, reçoit des habits neufs à volonté et sur mesure, possède une antichambre consacrée aux jouets, majoritairement des figurines en bois et des peluches de chevaux et de chevaliers... En plus de tout ça, il bénéficie de l'amour de sa mère et du reste de sa famille.

Après avoir longtemps insisté, il reçoit pour ses dix ans son premier vrai cheval, sur lequel il apprend à monter et prend plaisir à galoper sur les champs ou dans les forêts du domaine Hamleigh, en compagnie de ses sœurs. Un jour qu'il a fait la course avec elles d'un bout à l'autre d'une clairière, il est doublé par la plus jeune d'elle montant un cheval blanc. Il entre dans une fureur noire.
- NOOOON ! Ce n'est pas possible ! Hurle-t-il. Tu as triché, je t'ai vue, tu es partie plus tôt !
Il est le meilleur, toujours en tête, et pas seulement en équitation d'ailleurs. Il excelle en tout, même au chant que pourtant il n'apprécie pas. En vérité, c'est seulement ce que l'on le laisse croire, afin qu'il ne perde pas confiance, puisqu'il est sensé succéder avec honneur à son père.

Il veut ensuite apprendre l'escrime, être fort, être invincible. Il fait de plus en plus de caprices, il est très lunatique et la vie avec lui devient impossible pour ses proches, ou du moins pour ceux qui doivent le supporter à longueur de journée. Non qu'il ne sache pas être poli, tenir une conversation calme, s'exprimer avec grâce... Mais lorsqu'il veut quelque chose, il l'aura. Ce n'est pourtant qu'à 15 ans qu'il tient une épée pour la première fois en compagnie d'un maître d'armes spécialisé et compétent. Le meilleur de la région. Il passe des heures à apprendre, à s'entraîner, puis à se battre avec lui. Il sort de la salle d'armes en sueurs, le visage écarlate, la gorge en feu d'avoir tellement crié, les habits souvent déchirés. Il pratique aussi le corps à corps, avec un second professeur, et continue à prendre des cours d'étiquette et de conversation à la demande de sa mère. Mais c'est bien à l'escrime qu'il apporte le plus d'importance.

Il devient à l'image de son père un homme des mieux bâtis, un large dos musclé mettant en valeur une tête carrée aux pommettes saillantes et à l'allure hautaine. Il est bien plus prétentieux que Perceval Hamleigh, et cet excès développe au fond de lui-même une peur presque panique de tout ce qui pourrait lui signifier un échec, de tout pour quoi il pourrait ne pas être à la hauteur, et surtout de tous ceux qui pourraient être meilleurs que lui. Il prend donc d'avantage encore soin et de son apparence et de sa condition physique, augmente encore ses capacités combattantes... Il tourne en cercle.

Contrairement à ce que tout le monde croyait, son père ne meurt pas tout de suite, on dirait même qu'il a plusieurs années devant lui encore. Bien qu'il veuille régner, qu'il veuille prendre le pouvoir et imposer sa volonté au royaume entier plutôt qu'au château seulement, c'est l'inquiétude, la crainte ed l'inconnu qui le remporte en lui et il est tout compte fait content qu'il ne doive pas déjà assumer les devoirs d'un duc. Ayant acquis un physique des plus parfaits, bien qu'y travaillant encore et toujours bien sûr, il commence à penser aux femmes. Remportant du succès avec les domestiques du château, il acquiert une image très flatteuse de lui-même. Remarquant grâce à la duchesse la volonté de Charles-Henry de se trouver une femme, son père décide de l'aider. Entretenant des relations étroites avec leurs voisins, les comtes Bennet, dont le premier enfant est une fille, ils décident de leur rendre visite. Charles-Henry avait déjà rencontré Émeraude à plusieurs reprises lors de voyages qu'il entreprenait avec son père. Interrompus pendant une période, il décide de recommencer ces expéditions plus souvent. Il fait la connaissance de la charmante jeune femme et soigne bien sûr chaque fois la manière de laquelle il lui apparaît. Toujours très bien habillé, toujours galant et poli, tout en affirmant ses points de vue sur les différents sujets de leurs conversations. Elle, pour ce qui la concerne, est toujours avenante et gaie, espiègle et presqu'un peu enfantine. Il est vrai qu'alors qu'il a vingt-cinq ans, elle n'en a que dix-huit . Mais avec ses cheveux blonds et ses yeux bruns ensorcelants, sa taille fine et haute, ses formes arrondies et parfaitement mises en valeur, elle est très belle et attirante. D'autant plus que son aura de fleurs a quelque chose de mystérieux. C'est décidé, Charles-Henry la veut, il veut se marier avec elle, qu'elle le veuille aussi ou pas.

C'est son père qui fait le premier pas auprès du comte Bennet, qui est d'accord pour que Charles-Henry fasse la cour à l'aînée de ses filles, mais précise bien cependant que le choix de son mari appartient à Émeraude, suite à une promesse qu'il lui a faite. Mais le jeune Hamleigh accorde peu d'importance à cette promesse. Elle l'épousera qu'elle le veuille ou non, il est prêt à la forcer. Le rendez-vous à lieu le soir, dans les jardins du comté Bennet. Ils commencent par un entretien qui se veut normal, puis Charles-Henry se tourne vers Émeraude, lui prend les mains avec force, lui sourit.
- Émeraude Bennet, vous êtes l’objet de mes désirs, le sujet de mes rêves. Je ne rêve plus que de vous, ne pense plus qu’à vous. Laissez moi vous faire l’honneur de devenir ma femme. C’est une union des plus avantageuses qui nous attend.
- Monsieur, je ne doute en rien de la sincérité de vos sentiments à mon égard, mais je ne peux que décliner votre proposition. Je crains être incapable de pouvoir faire votre bonheur, tout comme vous ne ferez absolument pas le mien. Je suis navrée du chagrin que je vous cause, mais je ne doute pas que vos attraits vous aideront à trouver une femme qui vous mérite bien plus et qui aurait l’honneur de devenir votre épouse.
- Vous vous moquez de moi ? Comment osez-vous me repousser ? Personne ne m’a jamais rien refusé, et ce n’est sans doute pas une femme qui va se mettre en travers de mes plans.
- Monsieur, restons polis je vous en serai reconnaissante. Je suis malheureusement obligée de vous réitérer mon refus et ce en termes moins affectueux qu’auparavant : jamais je ne deviendrai votre femme. Ne prenez pas la peine d’en parler à mon père, vous connaissez sans doute la promesse qu’il m’a faîte.
Elle se leva, s'excusa, et partit.

C'en était trop pour Charles-Henry. Il avait eu de la peine à se retenir de la frapper, alors qu'elle était encore juste devant lui. Il savait qu'il avait rougi, il sentait la flamme qui brûlait dans ses yeux, voyait presque la fumée qui lui montait de sa bouche entrouverte, entendait presque le grognement qui s'échappait de sa gorge. Elle n'allait pas s'en sortir comme ça, ah ! non. Si elle croit que résister lui servira à quelque chose, elle se trompe et elle en assurera les conséquences. Personne ne peut s'opposer à Charles-Henry, et encore moins elle. Non, non ; elle verra bien, cette bataille, elle la perdra. Les jours passèrent, Charles-Henry faisait semblant de s'être replié mais cherchait des hommes de confiance, en réalité. Il a un plan. Diabolique. Il prendra sa revanche, et il la prendra elle. Émeraude. Cette garce qui croyait pouvoir lui résister.

Lorsque tout est prêt, il part à l'attaque. Pendant la nuit. Les Bennet dorment tranquillement lorsque ses chevaliers et lui entrent dans le château. Il a ordonné à ses hommes de tuer tous ceux qui se mettront en travers de leur chemin. Certains domestiques s'échappent, d'autres veulent faire face, tous meurent. La famille Bennet est torturée.
- Où est-elle ? OÙ EST-ELLE ?!!
Charles-Henry ne se contrôle plus. Personne ne veut lui la livrer ? Il se la trouvera tout seul. Ils seront massacrés. De sa main. Pendant que le château est pillé par ses soldats. Il décide d'attendre. Elle se montrera bien. Il ordonne donc à ses hommes de se retirer, de l'attendre plus loin et en silence. Et en effet, un cri strident, un cri de détresse horrifié se fit bientôt entendre à l'étage. Elle est sortie de sa cachette. Naïve petite Émeraude... Il rentre dans sa chambre, elle est penchée sur son père. Elle se retourne, effrayée. Il sourit, sans retenir la fureur cruelle ni la joie criminelle de sa bouche. Il sent ses yeux scintiller, son visage jubiler.
- Je t’avais prévenue que je ne laissais jamais les autres m’interdire quoi que ce soit, et encore moins une petite garce de ton espèce.
- Comment avez-vous osé ? Vous brûlerez en Enfer pour les crimes que vous avez commis cette nuit. Vous et tous vos hommes de main.
Il fait un pas, puis deux vers elle. Elle est prise de panique, elle court à l'autre bout de la pièce. D'un bond, il la rejoint, l'empoigne par les avant-bras, et la frappe au visage sans chercher à retenir sa force. Elle va souffrir, il veut qu'elle souffre, et il la fera souffrir. Il la jette sur le lit à baldaquins transpercés, et remonte ses jupons.
- Tu vas apprendre ce que c’est que de me mettre hors de moi. Si tu avais été docile, rien ne se serait passé ainsi. Tu l’as mérité.
- Je vous en prie...
Une nouvelle gifle la paralyse. Maintenant, finie la résistance. Elle ne peut plus rien contre lui désormais. Il dépose un baiser sur son sein gauche, puis le droit, il caresse son ventre. À lui le plaisir de la victoire, de la victoire sur une femme. Enfin.

Au petit matin, il se relève et se rhabille. Toujours aussi belle, Émeraude ne bouge plus. Ses yeux ouverts révulsés et sa bouche tordue témoignent de sa souffrance. Elle mourra, se dit-il en sortant. Elle a eu ce qui lui appartenait. Il peut partir en paix- Il est calme- Il a retrouvé son honneur. Dehors, il ordonne à ses hommes de mettre le feu à la maison. Il monte sur son étalon noir et part.

Son père s'éteint un an plus tard, alors que Charles-Henry a vingt-six ans. Il monte au pouvoir, le voici duc. Il peut imposer sa volonté partout, il est prêt depuis longtemps. Le duché Hamleigh qui s'étend désormais aussi à l'ancien comté Bennet lui appartient. Il avait tout préparé, les cendres laissées sur le lieu du massacre faisaient croire à un incendie comme il en avait souvent. Il est l'un des plus importants seigneurs de Gorres. Il n'a pas de femme, et cela lui convient très bien. Il ne veut pas se marier, pas encore. Il est très heureux sans attachements. Cela fait trois ans qu'il règne, trois ans que ses sujets souffrent de pauvreté, écrasés sous les impôts et le contrôle constant par les hommes de leur seigneur. Il décide cependant de diminuer les impôts qu'il avait augmentés, stratégiquement, pour éviter les révoltes. Tout va bien, il est satisfait. Il est le meilleur, toujours en tête. Comme d'habitude.

Derrière l'écran :

Âge : 17 ans
Comment as-tu trouvé le forum ? Grâce à une admine géniale (a)
Ses qualités : Très beaux contexte && intrigue. Design aussi.
Ses défauts : Léger manque d'activité... réparable =D
Codes : Niark
Autres : DC de Ari créé pour Eme <3

Code by Eli - pas touche ! èé

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So cool, dude.

Eh ouais =D

Bienvenue à moi (a)

Haaan mais tu triiiiches, tu te colorise avant d'avoir fini, vilaine xD

& sinon j'aime trop la tête de CHH, même si c'est un enfoiré 8D

Oui bon... je suis une grosse rebelle (a)

Mais sinon, merci XD Je sais bien que c'est un gros enfoiré, c'est aussi pour ca que je l'aime (a) Mais j'ai comme l'impression qu'il ne va pas vivre très longtemps... (tous mes personnages meurent, aaaaaaah !!) Mais j'essayerai de le faire survivre assez longtemps pour semer la pagaille 8D

C'est MOA qui ai choisie sa tête!

N'importe nawak, je l'avais déjà choisie avant, je l'avais montré à Eme, elle était d'accord, mais je lui avais pas donné le nom et du coup elle savait pas, donc elle t'a demandé. Mais j'avais déjà choisi avant èé

Ben en tous cas l'avatar reste parfait XD
Je suis impatiente de lire l'histoire qui va avec le reste des descriptions physiques et du caractère ^^

C'est frustrant de se souhaiter deux fois la bienvenue... xD Mais bon, bienvenue dans mon camp, CHH =D

CHH - You don't want to know me [UC] 3492402801

Haha !! Bienvenue CHH Laughing

Figure toi que ca marche, Eme =D
J'y mets du coeur, j'ai deja fini sur feuille, reste plus qu'a recopier (j'ai deja commencer, tu peux lire)

Petite réponse rapide, alias comment éviter les DP par Ari XD

Eme, lis voir l'histoire, et dis moi si ca te convient. Je chercherai les adjectifs qui vont dans les "..." , mais dis moi déjà si tu es d'accord =D

Sinon, je préviens ici que je ne reviendrai pas avant dimanche, pour cause de voyage XD Qui s'en fout ?

FINIIII =D

» Quelqu'un dont personne ne connais le nom, ou presque [OK]

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