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 Rien ne sert de fuir, le passé nous rattrape toujours. [Abandon]

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Andrew Demester
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Andrew Demester

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MessageSujet: Rien ne sert de fuir, le passé nous rattrape toujours. [Abandon]   Rien ne sert de fuir, le passé nous rattrape toujours. [Abandon] EmptyVen 25 Mar - 10:51

Les rayons du soleil tapait sur les mur de la vieille grange. Quand le jeune Terrence ouvrit les yeux, il eu tout de suite le souvenir que cela faisait deux ans déjà. Deux ans qu’il avait terminé ses classes, ses missions, ses devoirs pour devenir un véritable chevalier. Certain, après ses années de véritable torture continue à partir en voyage, à se battre, à tuer parce qu’ils ne savent faire plus que sa, mais pas Terrence. Il n’aimait pas les combat, il n’aimait ni la mort, ni le sang et pourtant, il y a deux ans, il avait hésité à cause de quelqu’un. Ou serait-il aujourd’hui ? Que ferait-il ? Peut-être serait-il mort sans jamais personne pour se souvenir de lui, pour crier de pleure son nom devant une croix en bois mal sculpté. Terrence n’avait pour ainsi dire qu’une seule personne actuellement proche de lui et si lointaine en même temps. Son père, son père qui ne l’aimait pas, qui dénigrais jusqu’à sa naissance mais qui pourtant, avait toujours des faveur à demandé à son fils. Mais qu’il soit encore en vie ou non, ce n’était pas important. Qu’il soit issu d’une famille royale ? Personne ne le savait, sauf une seule personne, le seul ami qu’il ai pu avoir pendant la guerre. Le seul qui se fichait des origines, qui se fichait des point noirs de la vie de chacun, le seul qui connaissait le lourd secret qu’il portait. Mais tout cela était loin, il n’avait plus de nouvelle, il ne se battait plus, ou très rarement, il vivait même seul dans une vieille grange réaménager pour lui. Il avait deux domestiques, une femme pour nourrir les chevaux et faire le ménage chez lui ainsi que la cuisine et un homme, qui s’occupait des chevaux auxquels Terrence n’avait pas de temps à consacrer. Terrence vivait juste à côté des écuries, dans le parc du château du roi Arthur. Il avait eu ce poste peu de temps après la fin de ses classes. Le roi avait pu apercevoir que Terrence se débrouillait parfaitement bien dans l’élevage des chevaux et lui avait donc confier la mission de prendre soin des siens, ainsi que d’élever leurs enfants pour qu’ils soient aussi fort et rapide pour les guerres. Il n’y avait pas de plus beau travail pour le jeune Terrence, âgée à peine de 19 ans.

Sa maison, n’était pas très riche. De L’extérieur, elle avait la même tête que la maison de ses serviteurs mais intérieurement, le mobilier était assez luxueux. Pas comme celui du château, mais il avait tout le confort dont il avait besoin en tant que Chevalier. Terrence se disait parfois que faire ses classes, bien que ses années là avaient été au antipode de ses valeurs, lui avaient permis d’avoir un statut sociale aujourd’hui très enrichissant et particulièrement honorifique. Il aimait le matin se lever avec la chaleur du soleil, sentir les brises fraîches lui caressé le visage pendant qu’il déjeunait d’un bout de pain et de charcuterie. Il avait même de quoi se laver ! Pas de parfum mais il se sentait propre, bien et heureux. Il ne manquait de rien, vivait de sa passion pour les chevaux et de temps à autre, il était même invité au château. Terrence ne voyait que des personnes de haut rang, convoitait la noblesse et ne partait presque jamais à la guerre ! Il n’était enrôler que pour les batailles ou les chevaliers manquaient à l’appel ou pendant les attaques au château. Bien rangé dans son étui, Terrence conservait l’épée des chevalier, qu’il avait acquis à la fin de ses classes. C’était une belle épée, longue en acier sculpté de quelques perles. Terrence en était fier. Tout les matin, il la nettoyait et en prenait grand soin avant de sortir et de se rendre aux écuries.

Hier après-midi, un poulain était née. Il était issu de la jument préféré du roi et d’un cheval un peu trop fougueux, que personne n’osait monté deux fois. Terrence ne savait pas trop quoi faire de ce mâle indressable mais comme il était fort, solide et rapide, il ne pouvait se déterminé à le vendre, et il avait eu raison. L’enfant était un peu trop grand pour une taille normal, mais on pouvait voir tout de suite qu’il serait aussi bien battit que son père. Terrence avait eu peur pour la jument, elle avait faillit mourir durant l’accouchement mais la brave bête avait tenu le choc et le poulain allait à merveille. Terrence s’occuperait de lui dès aujourd’huis. Il ne fallait pas que le petit devienne aussi fou que son géniteur. Et arrivé aux écuries, Terrence ne prit pas la peine de s’arrêté. Il se dirigea vers l’arrière des écuries, là ou la mère mangeait du foin et le poulain, la tétait vigoureusement. Le poulain était encore sale, c’était normal puisqu’à la naissance, on ne sépare pas le poulain de sa mère. Il fallait donc laver aujourd’hui le petit et la jument.

Après quelques instructions à son serviteur au niveau de la jument, Terrence entraîna le poulain vers un espace en pierre ou l’o, l’avait les animaux. Il y avait là une bassine d’eau et des brosses. Terrence emmena le poulain, le regarda de part en part pour juger de sa corpulence. Il avait les yeux de la jument, doux et calme mais le corps de son père. Il ferait un bon cheval. Le roi serait heureux de le monté quand il sera en état de porter quelqu’un sur son dos. Terrence eu un franc sourire sur les lèvres, il était heureux du choix qu’il avait fait de ne pas vendre le mâle agressif alors que tout autours de lui, on le lui conseillait.

Puis sa servante appela son nom, ou plutôt celui de Andrew, car c’est de ce prénom que tout le monde le connaissait. Il c’était fait à ce prénom. Maintenant, c’était un peu comme une habitude de donné ce nom là au lieu de son prénom d’origine. Quand on est un espion, on ne donne pas son vrai nom … enfin bref, elle lui criait que quelqu’un approchait. Terrence relâcha donc un peu l’animal dans le petit pré qui se trouvait sur la gauche et regarda quelques secondes le poulain courir dans les herbes avant de revenir à l’entrée de l’écurie ou au loin, il vu en effet un cheval galoper vers lui..
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Automnal Key
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MessageSujet: Re: Rien ne sert de fuir, le passé nous rattrape toujours. [Abandon]   Rien ne sert de fuir, le passé nous rattrape toujours. [Abandon] EmptySam 26 Mar - 15:19

  • Voilà un moment que j’étais allongée dans l’herbe, à regarder le ciel. Le vent soufflait agréablement, caressant mon visage semi-aveugle, et faisait s’agiter les brins d’herbes qui chatouillaient ma nuque. L’hiver avait doucement laissé sa place au printemps. Le Monde entier semblait s’être paré d’un manteau vert et fleurissant. Et s’il faisait toujours frais, le soleil reprenait peu à peu ses droits, dardant ses rayons brûlants sur Caamelot et ses alentours.

    Je profitais de cet instant de répit afin de faire le point sur ma situation actuelle. Si les derniers jours s’étaient avérés difficiles, avec la puissante fatigue qui s’était emparée de moi et la récente blessure qui m’avait amputée d’un œil, je recouvrais peu à peu mes forces – du moins étais-je de nouveau capable de porter mon épée et de faire quelques pas sans zigzageur étrangement. Si de larges cernes violettes couvraient le haut de mes joues, je me sentais tout de même bien plus en forme que les derniers jours. Restais à voir si cela serait à long terme…

    Autant profiter de ce laps de temps. Le soleil était déjà haut dans le ciel, et il serait bientôt midi ; le repas n’allait pas tarder à être servi au château. J’avais néanmoins quelque chose à faire avant de me remplir l’estomac ; rendre visite à un certain Andrew Demester, un ami de mon frère parti à la guerre. Pour deux raison. Premièrement, je savais qu’il gérait un élevage de chevaux ; je souhaitais acquérir un cheval, celui que je montais dernièrement n’étant qu’un « emprunt » aux écuries royales. De plus, je voulais savoir s’il avait des nouvelles de Nolan. Mon frère représentait beaucoup pour moi, et son absence m’angoissait ; je craignais constamment qu’il ne lui soit arrivé quelque chose.

    Je me relevais rapidement, presque agilement en comparaison des efforts que je devais fournir pour un simple geste comme celui-ci ces derniers jours. Après avoir défait en quelques gestes le nœud qui retenait ma monture à un piquet de bois, je partais au galop en direction du château, que j’avais déjà quitté quelques heures plus tôt. Mais plutôt que de m’y rendre directement, j’effectuais donc un petit détour pour, bientôt, arriver en vue d’une petite grange.

    Une fois que j’y fut, j’entendis une voix crier le nom d’Andrew ; je ne m’étais pas trompée d’endroit. Mettant pied à terre, j’avançais avec mon cheval vers l’entrée de la grange. Un jeune homme, très probablement Monsieur Demester, se trouvait déjà là.


    - Bonjour, dis-je en tendant ma main droite. Je suis Automnal Key, la sœur de Nolan… Je suis chevalier, moi aussi. Vous êtes bien celui que l’on appelle Andrew Demester, je me trompe ?

    Mon épée n’était pas là pour témoigner de mon titre, j’avais préféré la laisser au château. Les femmes chevaliers étaient censées se faire discrètes, et je me savais avoir bien trop tendance à emmener ma lame partout avec moi, par habitude. Sa présence à mon côté me faisait toujours un bien fou, me conférant une impression de sécurité et d’assurance non négligeable.
    Et puis, je l’avais assez vue, cette épée, ces derniers temps. J’avais tué un second innocent. Pour sauver la vie d’un ami, certes. Mais la vie d’un meurtrier par conséquent. Je m’en voulais terriblement. Je ne m’étais pas engagée chez les chevaliers pour tuer aveuglément tout ce qui se dressait sur ma route. Je m’étais engagée pour défendre Arthur et ses contrées, pour défendre ce que je considérais comme être des valeurs justes. Pour défendre ma famille et mes amis, les gens qui comptaient pour moi. Seulement, si mon ami était un meurtier, que faire ? J’avais moi-même tué sa propre cible pour lui sauver la peau – et j’avais perdu un œil au passage. Le bobard que nous avions à chacun afin d'expliquer les choses, et même à ma mère, était passé sans encombre ; seule ma conscience se refusait à laisser passer ce mensonge que je considérais ignoble. La faute avait été remise sur le dos du défunt, dont j’avais aussi tué le frère. J’avais la douloureuse impression de me comporter comme un mosntre, mais ne parvenais à en vouloir à Seth. Je me contentais de tuer pour le sauver et le ferais autant de fois que nécessaire, bien que cela m’en coûte.

    Chassant ces sombres pensées de ma tête, j’observais la petite grange d’un rapide regard circulaire. Bien qu’assez ancienne et d’allure assez pauvre, elle ne semblait pas désagréable. J’aperçus une servante donner à manger au chevaux puis me retournais vers Andrew. Rester debout un certain temps me faisait toujours aussi mal, et je ne pus m’empêcher de demander au jeune homme si je pouvais m’appuyer quelque part, ne serait-ce qu’un mur ou une barrière, mais quelque chose qui me soutienne.


    - Je suis assez… faible, en ce moment. Je peux m’asseoir, ou m’appuyer quelque part, s’il vous plaît ?

    J’esquissais une grimace discrète, casiment invisible. Je détestais avouer que j’étais faible, même quand cela était vraiment le cas. Surtout quand cela était vraiment le cas. Je me sentais démunie, comme si le simple fait d’avouer mes faiblesses me rendait vulnérable – ce qui, somme toute, était tout de même le cas.
    Et puis, je détestais vouvoyer les gens. J’aimais rencontrer ces derniers et apprendre à les connaître ; le vouvoiement mettait entre chacun une telle distance que cela devenait casiment impossible lorsqu’il était usité.

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Andrew Demester
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MessageSujet: Re: Rien ne sert de fuir, le passé nous rattrape toujours. [Abandon]   Rien ne sert de fuir, le passé nous rattrape toujours. [Abandon] EmptyLun 4 Avr - 22:09

Il y avait dans cette vue quelque chose de magique. Un grand pré, un soleil à peine visible à cause d’un nuage mal placé mais surtout, Terrence avait le soleil dans les yeux et alors qu’il tenait son bras près de son visage, il voyait le cheval galoper vers lui. Une simple ombre, une image noir dans une étendu verte aux reflets jaunes. Terrence appréciait cette vue pour plusieurs raisons. La première étant que le soleil lui caressait doucement ses bras musclé et qu’après une bonne séance les mains dans la boue et l’eau, c’était parfaitement délicieux tout comme si une magnifique créature le touchait du bout des doigts. Puis, il y avait aussi le cheval qu’il voyait de mieux en mieux venir vers lui. Il le connaissait. Il ne l’avait pas élevé, à son plus grand désarrois mais il l’avait vu s’entraîner, il connaissait sa façon de courir, de marcher, de bouger.. Comme tout les chevaux dont il s’occupait. Pour Terrence c’était plus qu’un travail, c’était une passion. Mais le visage qui s’affichait comme cavalier ne lui disait proprement rien, bien que quelques traits lui étaient familier. Un client sûrement, puisqu’elle montait un de ses chevaux. Elle devait être du château, un chevalier? Sans doute. Et sûrement un chevalier de grande valeur ou issu d’une famille de chevalier qui avaient fait ses preuves auprès du roi. Un privilégier en sommes. De toute façon, il allait très vite découvrir qui elle était.

De long cheveux brun, un peu ondulé, un air d’ange mais un œil.. Disons.. Mort? C’était bien dommage et tellement triste de voir une femme aussi belle abîmé par la guerre. Mais il le comprenait, il savait la joie que procurait la guerre, savoir que l’on a gagner, que nos ennemis sont mort c’était si excitant que l’on pouvait bien perdre un œil, souffrir de nombreuses blessures ou même parfois, mais dans ce cas là, c’était bien plus dur à endurer et Terrence se l’avouait que cette dernière épreuve l’avait fait renoncé à tout, c’était perdre quelqu’un de proche pour la victoire. Plus jamais.. Il ne voulait plus perdre des gens importants à ses yeux au prix de la victoire. Et quand la jeune femme s’avança vers lui un sourire aux lèvres, le cheval derrière elle il comprit qu’elle n’était pas qu’une simple inconnu. Non.. Son visage lui rappelais quelque chose, ou quelqu’un.. Un fantôme du passé?

La jeune femme s’arrêta, un sourire au lèvres devant lui. Terrence effectua une légère courbette pour respecté la politesse et aussi l’étiquette et prit la main que la jeune fille lui tendait. Il était rare de nos jour que des jeunes femmes tendent leurs mains comme les hommes. Mais Terrence ne voulait en aucun cas faire de machisme ni même énerver la demoiselle qui lui était inconnu. Car il n’y avait rien à faire, il n’avais pas souvenir l’avoir déjà vu auparavant. En période de guerre, il voyait des femmes mais il n’avait pas vraiment l’esprit à batifoler durant ses périodes… Quand tout les jours on voyaient des camarades mourir l’esprit était plutôt à se soûler de breuvage alcoolisé pour oublier. Oui il l’avouait, pendant une période il se noyait dans l’alcool, comme tout homme. Il était peut-être fort, résistant mais pas sans cœur ni même sans âmes..


- Bonjour, Je suis Automnal Key, la sœur de Nolan… Je suis chevalier, moi aussi. Vous êtes bien celui que l’on appelle Andrew Demester, je me trompe ?


D’ailleurs son âmes s’enflamma à ce nom. Key, Nolan, Automnal.. Auty? Chevalier, sœur, frère, lien, Andrew? Oui Andrew.. C’était qu’entendre à nouveau ce nom lui faisait autant mal que ne ravivait en lui des instant de bonheur et de joie. Souvent il avait voulu arrêté, souvent il avait voulu s’enfuir, déserté et même mourir en voyant tout ses innocent succomber alors que lui, jour après jour résistait et vivait. Qui lui en donnait le droit? Pourquoi lui restait en vie tendis que les autres mourrais? Ou était la justice? Dans ce monde de barbare il n’y en avait pas, il n’y avait ni haine, ni amour, seulement le pouvoir, la conquête. Les vie humaines n’étaient que des chiffres et terrence était un parmi tant d’autre, du moins l’était-il. Beaucoup de gens ne savaient plus dicerné le bien du mal après avoir vu tant de mort, sauf un, Nolan.

Il était son meilleur ami, son frère d’arme, il lui racontait ses peurs, ses passions et c’était réciproque. Ho Terrence savait depuis longtemps qu’il avait une petite sœur, mais lui, il l’appelait Auty. Terrence avait toujours cru à un prénom mais maintenant, il savait que ce n’était que le diminutif. Il savait aussi que Nolan n’aimait pas le fait que sa sœur se lance dans l’armée, il n’aimait pas la voir avec une épée, et aimé la manier. Il n’aimait pas pensé que sa sœur pourrait mourir sous la lame d’une lance alors qu’elle pourrait se marier et avoir des enfants. Nolan était un peu vieux jeu, mais c’était compréhensible. Il n’avait rien contre les femmes au combat, sauf si c’était sa sœur. Il l’aimait, plus que tout. Il avait souvent parler d’elle et terrence pouvait presque en dire sur elle, plus long qu’elle ne pourrait l’imaginer.

Mais ce qui inquieta le jeune homme ce ne fut ni la venue de la jeune Auty, mais plutôt qu’elle se présente comme étant sa sœur et qu’elle vienne le voir lui. Que savait-elle sur lui? Il avait tant de chose à caché que tout devenait suspicieux pour lui et dans le cas présent, il avait de quoi prendre peur. Elle était chevalier, elle était pour Arthur, comme il devrait l’être mais.. Nolan savait. Nolan était son ami et il savait pour lui.. Il savait qui était son père, il savait ses origines et aussi sa mission et pourtant, il avait jurer ne jamais rien dire. Mais.. Son amour pour sa sœur lui aurait-il fais perdre sa promesse?


-Je suis assez… faible, en ce moment. Je peux m’asseoir, ou m’appuyer quelque part, s’il vous plaît ?

Terrence prit instinctivement le bras de la jeune fille, chassant ses doute quelques secondes. De toutes façon, il serait tôt ou tard ce qui amenait la jeune fille près de lui et puis.. Si jamais son ami l’avait trahis, c’était qu’il devait avoir confiance en elle non? Alors pourquoi ne le ferait-il pas non plus? Terrence la connaissait si bien dans le fond, même si il ne l’avait jamais vu. C’était comme si Nolan avait imprégné en lui tout l’amour qu’il avait pour elle. Un peu comme un grand frère qui aime sa sœur.

Terrence emmena la jeune fille vers la grange ou il vivait. L’intérieur était magnifique, bien qu’assez simple. Il marcha doucement tentant de ne pas trop lui faire faire des pas difficile pour elle. La guerre l’avait blessé. Il était sur que l’œil n’était que la partie visible. Comme Terrence était malheureux.. Les hommes étaient si cruel et méchant ! Comment pouvaient-ils faire du mal à une jeune fille comme elle? Auty semblait si fragile.. Si innocente encore..


-Prend donc tes aises Auty.. Heu.. Automnal.

Il y avait un beau canapé rouge et or au milieu de la pièce dans laquelle Terrence avait déposé la jeune fille. De quelques pas il sortie sa tête or de la pièce et appela sa servante pour qu’elle vienne servir des rafraîchissement.

-Si tu veux bien m’excusez quelques secondes..

Et sans tarder, il se dirigea vers la cuisine ou il se nettoya un peu les bras et ou il trouva non loin un vêtement derrière le bac ou sa femme de ménage lavait le linge. Il était blanc, sans manche et sec bien sur, bien qu’un peu froissé. Il retourna vers la jeune fille et prit place à côté d’elle.

-Je me suis pas présenté. Je suis en effet Andrew. J’étais un peu perdu dans mes pensés dehors. C’est que Nolan et moi avons, depuis notre rencontre, toujours été meilleur amis. Mais malheureusement, il a du repartir en guerre, comme tu le sais. Il ne passe que rarement ici. Quand il lui faut une nouvelle monture la plupart du temps.

Il s’arrêta regardant un peu mieux la jeune fille. Oui.. Elle avait les me^me cheveux que son frère, bien que Nolan les avaient très court et aussi les mêmes yeux. Néanmoins, Nolan avait un visage très masculin, et Automnal, elle des trait particulièrement féminin. Dans la forme du visage, il n’avaient rien en commun.

-Mais je divague.. Que puis-je pour toi?

Terrence lui fit un doux sourire. C’était le moment décisif. Si elle savait quelque chose, elle le dirait maintenant.
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Automnal Key
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MessageSujet: Re: Rien ne sert de fuir, le passé nous rattrape toujours. [Abandon]   Rien ne sert de fuir, le passé nous rattrape toujours. [Abandon] EmptySam 9 Avr - 7:20

  • Andrew prit doucement mon bras et m’emmena à l’intérieur de la grange ; curieusement, parallèlement à la facade, l’intérieur était réellement beau et agréable. Un sentiment de confort incroyable s’en échappait, et je me laissais porter jusqu’à un canapé rouge. Mes jambes criaient grâce, et je m’asseyais donc avec plaisir, savourant la sensation de la douleur refluant des mes deux jambes.

    -Prend donc tes aises Auty.. Heu.. Automnal.

    J’étouffais avec difficulté un petit rire. Nolan lui avait-il donc parler de moi à ce point ? C’était étrange, comme si… Andrew me connaissait. Mon frère n’avait pas eu le temps de me parler beaucoup de lui… Il avait ces derniers temps enchaîné les batailles, ne revenant que quelques jours entre deux combats. A ce rythme, il n’était pas difficile de comprendre qu’il ai passé bien plus de temps avec Andrew qu’avec moi, même si cela me peinait un peu. J’aurais aimé partir à la guerre avec lui, pour continuer à le voir.

    Bizarrement, j’attendais autant que je craignais mon premier départ à la guerre. Je détestais la mort, je détestais le sang ; et si j’aimais me battre, je détestais tuer pour le plaisir. Chaque mort que je laissais derrière moi, fusse-t-il le pire des assassins, provoquait chez moi un cas de cosncience dont je peinais à me défaire, et un sentiment de culpabilité envahissant. Quels droits avais-je pour choisir ainsi de qui devait mourir ? Si je rêvais d’aller à la guerre, pour voir mon frère et faire mes preuves de chevalier, j’avais peur de ce que j’allais y trouver. J’avais peur de ne plus rester moi.

    Le cri d’Andrew s’adressant à sa servante écarta mes sombres pensées. Andrew, lui, il savait ce qu’était la guerre… Tandis que le jeune homme s’excusait, il s’éclipsa rapidement, me lançant tout le loisir de profiter du moelleux du canapé. Je fermais un instant les yeux, fatiguée ; si je ne savais pas le jeune homme prêt à refaire apparition d’une minute à l’autre, je me serais endormie sans attendre. Le sommeil tentais déjà de refermer mes paupières, contre mon gré ; lorsque j’entendis des bruits de pas, je sursautais et me redressais, masquant rapidement la fatigue qui s’emparait de moi.

    Andrew semblait s’être passé un coup d’eau sur les bras, et s’était changé. Je souris ; si ce comportement témoignait d’une politesse admirable, le fait qu’il soit tenu de trvail ne me gênais absolument pas. Je n’en fis bien entendu pas la remarque et l’écoutais, tandis qu’il prenait la parole en s’asseyant à côté de moi.


    -Je me suis pas présenté. Je suis en effet Andrew. J’étais un peu perdu dans mes pensés dehors. C’est que Nolan et moi avons, depuis notre rencontre, toujours été meilleur amis. Mais malheureusement, il a du repartir en guerre, comme tu le sais. Il ne passe que rarement ici. Quand il lui faut une nouvelle monture la plupart du temps.

    Je laissais échapper un soupir déçu. Probablement Andrew ne savait-il rien de plus que moi sur l’état de mon frère… Je m’inquiètais tellement pour lui ! Et ma mère aussi. Son absence déclenchait chez elle un comportement rageur et tendu. Et puis, j’avais aussi été terriblement déçue lorsque Nolan n’avait pas pu être présent lors de la cérémonie qui avait fait de moi une « Chevalier ». Je n’étais arrivée à ce rang que grâce à lui, et j’aurais aimé qu’il soit présent.

    -Mais je divague.. Que puis-je pour toi?

    Je prenais une seconde pour formuler mes pensées correctement, puis prenais la parole.

    - Deux choses. Nolan m’a beaucoup parlé de toi…

    C’était vrai. Le peu de temps que Nolan avait passé avec moi, il l’avait rempli en parlant de ses compagnons d’armes, et le nom qui revenait le plus souvent était celui d’Andrew. Il nous avait expliqué que celui-ci n’aimait pas la guerre, que c’était un homme au tempérament calme, qu’il adorait les chevaux, et que mon frère avait énormément confiance en lui.

    - En fait, j’espérais simplement que tu puisses m’en dire un peu plus sur sa santé. Je ne l’ai pas vu depuis plusieurs semaines… et je m’inquiéte pour lui. Je ne suis jamais allée à la guerre, c’est… c’est comment, là-bas ?

    Je voulais simplement savoir dans quelles conditions vivait mon frère. Si, malgré les morts que provoquait la guerre, il parvenait à être heureux – et en bonne santé. Si là-bas, ce n’était pas un enfer constant. Si Nolan n’aimait pas tuer, je savais qu’il le craignait moins que moi ; il était de plus sûr de sa cause, de ce ce qu’il avait à défendre.

    Puis, je me rendis compte qu’Andrew allait se poser des questions à propos de mon œil blessé. S’il l’avait probablement mis sur le compte de la guerre, je venais décarter cette possibilité. Et s’il me posait la question, il serait hors de question que je mente… Je me refusais à cela. J’avais menti à tout le château, et avouer à Andrew le secret de cette blessure pouvait facilement nous trahir, Seth et moi ; mais Nolan faisait confiance au jeuen homme, et vis-à-vis de mon frère, je me devais de faire de même. J’en avais assez des mensonges, et si je gardais le silence pour le moment, je me sentais prête à déballer toute la vérité au cas ou Andrew me pose la question…


[Hors Rp : Désolée pour le temps de réponse... et le résultat médiocre qui, finalement, en résulte =/]
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